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Plein coeur : L’affaire de la villa des églantines

Éditons de la rue Eds, 2015

Michel Ruffin

Ah, si l’assassin avait su que le commissaire Masson était normand il courrait sans doute encore. Mais voilà, il ignorait ce détail.. Des victimes il y en a, plus qu’il n’en faut mais des suspects aussi et c’est bien là le problème.

Quand l’héritière d’une des plus grosses fortunes de France se fait assassiner on s’énerve vite au ministère de l’Intérieur, on trépigne à Matignon, on tremble à l’Elysée. Il faut savoir que la défunte arrosait tout le monde, comme jadis son père. Pas de quoi pourtant affoler le commissaire. C’est un flic indifférent aux pressions sauf celles des jolies femmes.

Et puis notre Masson n’a pas la langue dans sa poche ; à la différence des malfrats qu’il arrête il ne parle pas qu’en présence de son avocat.Limite baratineur. Il pratique le calembour et les bons mots ! On l’aime ou on le déteste. Mais ses hommes se feraient tuer pour lui. Question charisme il répond présent notre commissaire. Et tant pis si le meurtrier n’est pas de cet avis, il aura le temps de reconsidérer son opinion à Centrale ! Michel Ruffin, auteur de romans à succès, aime bien faire quelques infidélités à ses romans historiques ou à ses romans de terroir pour fréquenter le polar.
On l’avait déjà vérifié avec Le Sixième tableau ou Le Secret des Bierville-Harcourt. Il revient à ce genre littéraire avec Plein Cour. Président de l’Union des Ecrivains et Créateurs de France il est aussi conférencier et chroniqueur radio. Ah, si l’assassin avait su que le commissaire Masson était normand il courrait sans doute encore.

Mais voilà, il ignorait ce détail.. Des victimes il y en a, plus qu’il n’en faut mais des suspects aussi et c’est bien là le problème. Quand l’héritière d’une des plus grosses fortunes de France se fait assassiner on s’énerve vite au ministère de l’Intérieur, on trépigne à Matignon, on tremble à l’Elysée. Il faut savoir que la défunte arrosait tout le monde, comme jadis son père. Pas de quoi pourtant affoler le commissaire. C’est un flic indifférent aux pressions sauf celles des jolies femmes. Et puis notre Masson n’a pas la langue dans sa poche ; à la différence des malfrats qu’il arrête il ne parle pas qu’en présence de son avocat.Limite baratineur. Il pratique le calembour et les bons mots ! On l’aime ou on le déteste. Mais ses hommes se feraient tuer pour lui. Question charisme il répond présent notre commissaire. Et tant pis si le meurtrier n’est pas de cet avis, il aura le temps de reconsidérer son opinion à Centrale !
Michel Ruffin, auteur de romans à succès, aime bien faire quelques infidélités à ses romans historiques ou à ses romans de terroir pour fréquenter le polar. On l’avait déjà vérifié avec Le Sixième tableau ou Le Secret des Bierville-Harcourt. Il revient à ce genre littéraire avec Plein Cour. Président de l’Union des Ecrivains et Créateurs de France il est aussi conférencier et chroniqueur radio.